Convié dans Un éclair de Guény sur VL Media, il s’est rappelé des débuts en grande pompe de Jean-Jacques Goldman, ce dernier sortant à peine de son groupe de rock Taï Phong est parvenu d’antan à se faufiler dans le Top50 en solo.
« Je l’ai connu à ses débuts. On s’est croisés souvent », se souvint Jean-Luc Lahaye. « Un jour je suis allé le voir au Palais des sports avec Daniel Balavoine, mon copain Daniel. Il était un peu jaloux – paix à son âme – du succès de Jean-Jacques. Et ils avaient un peu la même tessiture vocale, tous les deux, donc… », poursuivait-il ensuite.
Daniel Balavoine, raconte-t-il, ne voyait pas d’un bon œil la prestation de JJG et il ne se faisait pas prier pour le faire savoir : « On avait été voir Jean-Jacques et pendant tout le concert il me donnait des coups de coude. Il me disait : “Le batteur il est à la rue.” J’étais mort de rire… ».